En 2013, l’ANI QVT décrivait la qualité de vie comme « un sentiment de bien-être au travail perçu collectivement et individuellement qui englobe l’ambiance, la culture de l’entreprise, l’intérêt du travail, les conditions de travail, le sentiment d’engagement, le degré d’autonomie et de responsabilisation, l’égalité, le droit à l’erreur accordé à chacun, une reconnaissance et une valorisation du travail effectué. » Plus pertinente que jamais, cette définition nous ramène au fondement du leader en conscience et comment il peut y contribuer. En effet, ce type de leader trouve des moyens pour accroître ses réflexes de recul avant de céder à l’envie de se lancer dans l’action. Plus facile à dire qu’à faire dans une société qui va de plus en plus vite, en exige toujours plus et où la productivité prend souvent le dessus sur le bien-être de ceux qui la réalisent. Pour transformer ce paradoxe et s’accomplir davantage et mieux dans ces univers changeants appelés VICA (volatile, incertain, complexe et ambigu), cela doit d’abord partir de soi. Vers un leadership en conscience Un leader en conscience doit reconnaître ses forces et ses points de vigilance. Il est conscient que ce qu’il dit ou ne dit pas, ce qu’il fait ou ne