Inspiré du modèle de Vézina (1992, p. 75) par Yannick de Grave, CRIA
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Le « brown-out » (perte de motivation ou de sens) est une bête sournoise. Moins visible et frappant que le burnout (épuisement professionnel), il peut s’installer dans l’organisation et avoir un effet diffus et subtil, mais bien réel, sur la productivité des travailleurs. La personne affectée peut aussi avoir une influence négative, voire toxique, sur son entourage personnel et professionnel, effet qui sera exacerbé s’il a des subalternes à sa charge. Des talents pourraient alors quitter l’entreprise, de même que le talent affecté par le brown-out. La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible d’agir et de prévenir ce mal. La mauvaise nouvelle, c’est qu’à défaut de le faire à temps, il sera ensuite peut-être trop tard.
Inspiré du modèle de Vézina (1992, p. 75) par Yannick de Grave, CRIA